Ma chair frissonne devant la grandeur de ta loi.
Psaume 119,120 selon Stan Rougier
Elisabeth,
ton ventre a frissonné
d’une joie inouïe
quand Myriam, Marie,
humblement t’a saluée !
Il devait y avoir
dans les mots simples
le sourire de l’ange
les promesses de l’aube
un refrain d’espérance
pour qu’au sein de ton sein
la vie tressaille
et déjà s’époumone
à proclamer le règne !
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