Tu es la pluie
en mes déserts,
la brume légère
sur mes ennuis
l’aube de mes nuits
le silence après l’enfer
des cris et des bruits
Tu es la vie
sur mes plaines mortes
suscitant l’envie
ouvrant les portes
Tu es la joie
malgré les pleurs
malgré l’effroi
malgré mes peurs
Tu es la flamme
que la jeune femme
vient d’allumer
pour embraser
le monde entier
Tu es la flamme
que des sans-âme
faute de l’atteindre
faute de l’étreindre
imaginent éteindre
Tu es la flamme
renaissante
illuminant l’âme
reconnaissante.
sublime!
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