Au
sein de l’âtre tamisé
Je
trébuche dans ses yeux noirs
Immensité
J’y
vole d’étoiles balançoires
En
rires chatoyants
Obscurité
Scintillement
D’amour
imprégné
Les
modernes anges
Mains
tenant
Encerclement
De
leurs dieux font
Péremptoires
louanges
La
sentence tombe
Éternité
Les
veilleurs
Goûtent
La
saveur
Bombe
Chancèlement
Dix-huit
braises printanières
Aux
iris crépitants
Je
me fonds dans ce regard chocolaté
Tandis
que d’autres yeux sur moi espèrent
Je
m’élance dans les bras de ses galaxies lactées
Avec
elle j’esquisse
Un
lindy hop ouaté
Je
glisse
Par
tant de lumière partout accrochée
Ensemble
Tous
les trous noirs embraser
Sa
crèche poutres éventrées
Toit
décapé
Noël
tremblant éboulis
Donne
prise à toutes les intempéries
A la
fenêtre Gabriel déjà sourit
De
ses yeux d’or le tout est rempli
La
mienne aux allures
D’un
manoir
Aux
alambiquées tubulures
Enguirlandé
de parures
Nourrit
l’agogique espoir
D’Ailleurs
de lumière la revoir
Depuis
une question sur mon cœur trampoline
Où
attendent les vivants quand la Vie les dessine ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire